Les jeunes sont au cœur de la politique de voisinage de l’UE. L’UE s’efforce de s’engager plus fermement pour les jeunes du sud de la Méditerranée, et d’aider les pays partenaires à leur offrir de meilleures opportunités grâce à l’éducation, à la formation professionnelle, à la création d’emploi et au soutien des PME. Au sein des forums de coopération existants dans la région, elle favorise également des échanges entre les différents pays en matière d’éducation, de formation, et de politiques pour la jeunesse.
J’ai rejoint le projet NET-MED, qui est selon moi un mélange de rencontres — probablement les plus belles et les plus importantes de ma vie — et de découverte : la découverte d’une nouvelle perspective de travail. Mais le projet va encore plus loin. Il s’agit d’une évolution et d’un signe qui montrent que, tant qu’il y aura des jeunes sur les rives de la Méditerranée, son bassin continuera à être le fier pionnier de la diversité et de l’acceptation de l’autre.
- Mazigh Chakir, ingénieur marocain en art et culture Mazigh est analyste pour l’organisation de jeunesse « MENA Policy Hub », et travaille en collaboration avec le projet « NET-MED Youth », financé par l’UE (http://www.netmedyouth.org)
Nous poussons les jeunes à tourner le dos à la radicalisation (quelle qu’elle soit, il ne s’agit pas seulement de radicalisme religieux), grâce à l’éducation aux médias. Notre rôle est de former des jeunes âgés de 13 à 25 ans, et de leur apprendre les compétences nécessaires pour accéder à l’information (sur Internet, à la radio, dans la presse, à la télévision), analyser son impact et évaluer son authenticité. Une autre branche propose aux jeunes de créer un sujet médiatique.
- Mona Naggar, gestionnaire du projet « Beyond Radiation: Youth in Lebanon speak up! », financé par l’UE